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Alors qu'ils se croyaient à l'abri après avoir fui dans une autre réalité spatio-temporelle, Hawkmoon et les siens voient apparaître avec surprise un intrus dans leurs terres. Celui-ci révèle son secret : il a pu venir de Londra grâce aux pouvoirs d'un sorcier de Granbretanne. Il n'en faut pas plus pour alarmer notre noble troupe : si un intrus a pu venir, alors l'Armée Ténébreuse trouvera rapidement le moyen de faire le même trajet.

 

 

Hawkmoon et D'Arvec partent incognito au cœur de Londra afin d'espionner l'avancement des découvertes de l'ennemi. Ils découvrent que la menace est grande. Meliadus est sur les traces du sorcier. Le repaire de la Kamarg ne tiendra plus longtemps. Le duc de Köln et le français doivent jouer un contre la montre pour trouver ce savant avant les troupes adverses.

 

 

De fil en aiguille, une nouvelle quête attire Hawkmoon dans des contrées fort éloignées où l'énigmatique guerrier d'or et de jais le guidera sur la route de l'épée de l'aurore avant de tâcher de l'amener à lever le voile d'une partie du mystère du légendaire bâton runique. Mais Hawkmoon, las de ces aventures décide de faire faux bon au guerrier pour retrouver sa belle.

 

 

Des malheurs, des rebondissements, des combats d'épée encore et toujours. Le duc de Köln n'est pas épargné dans L'épée de l'aurore. On sent naïtre en lui une envie de calme et de paix à mesure que le danger augmente. Et le lecteur ne peut être que gagné par l'irrésistible désir de connaître le dénouement de cette quête. La suite, vite ! La suite !

 

Tag(s) : #Le chant de Melpomène, #Michael Moorcock
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